Tahiti d’Antan au white restaurant
Musique des années 50 et 60 à Tahiti, Nostalgie d’un passé révolu, d’un paradis perdu mythique C’est l’évocation des soirées légendaires du Quinn’s sur l’ancien front de mer.
Un temps où l’orchestre conjuguait accordéon, saxophone et ukulele pour faire danser les marins venus de tous les coins du globe avec les Vahine. C’est cette musique que les frères Rossoni, plus connus pour le jazz, ont voulu faire revivre avec une formation inédite. Les mélodies tahitiennes les plus connues, celles écrites ou retranscrites par Eddie Lund ou Yves Roche notamment, sont interprétées par Tahiti d’Antan sous la forme d’un récital proche de la musique de chambre classique tout en gardant des espaces à l’improvisation
L’orchestre est composé d’Inga Pan au violon, d’Abel Dumont à la contrebasse de Jérome Descamps au trombone, de Stéphane Rossoni à la batterie. Frédéric assure la direction musicale, les arrangements et le piano.
Le groupe propose un florilège des plus belles mélodies du patrimoine musical local, inscrit dans l’inconscient collectif à travers les générations.
La danseuse Marau Biret, fille de Jean Marie, chef du groupe Manahau, viendra ajouter l’envoutement de la danse à celui de la musique.